Pendant trop longtemps, hormis pour ses proches et une poignée de collectionneurs passionnés, l'oeuvre de Stéphane Mandelbaum est restée dans l'ombre. Sa récente redécouverte l'a enfin remise en lumière aux yeux du grand public et des institutions.
Plusieurs années de recherche auprès de la famille, des amis et des collectionneurs ont permis de découvrir une multitude de documents et de nombreuses oeuvres inédites. Le fruit de ce travail se devait d'être partagé. Des premiers dessins d'enfant aux ultimes « scraboutchas », cette monographie offre ainsi une vision globale de l'oeuvre de Stéphane Mandelbaum permettant d'en mesurer l'importance.
Entre insolence et déférence, légèreté et gravité, Stéphane Mandelbaum sut trouver les références à la hauteur du travail qui l'attendait. Il mit sa virtuosité au service du sujet, bouleversant les codes de la représentation. Près de quarante ans après sa disparition, la force des images demeure intacte.
Cet ouvrage sans précédent met en lumière l'art encore méconnu du tissage africain. De l'Afrique de l'Ouest à celle de l'Est en passant par le Mali, le Cap Vert, le Ghana, le Nigeria, le Cameroun, le Congo jusqu'à Madagascar, ces pages vous plongent dans un panorama de créations textiles éblouissant. Organisé de manière géographique et présentant les particularités de chaque territoire, le livre invite à découvrir des pièces uniques au sein des cultures qui les ont façonnées. Les oeuvres, pour certaines encore inédites, proviennent de collections publiques (musée du quai Branly-Jacques Chirac à Paris, Metropolitan Museum de New York, Musée d'ethnologie de Lisbonne, British Museum de Londres etc.) ainsi que de collectionneurs particuliers. Tenture nuptiale, vêtements du quotidien (boubou, pagne, tunique, châle ...) ou encore tenues talismaniques, riche est le répertoire de textiles commentés.
Coton, laine, soie, écorce battue, perles : les matériaux se succèdent au fil des pages en une myriade de techniques et de couleurs. De l'ikat au "velours du Kasaï" - qui a inspiré les artistes contemporains tels que Klee et Matisse -, l'inventivité plastique et esthétique déployée par les artistes africains témoigne d'une imagination intarissable dans l'art du tissage.
Alliant la qualité graphique à l'expertise scientifique, les 200 notices et leurs 300 illustrations, offrent un éventail chamarré de motifs et de matières, qui ravira le regard des amateurs et des connaisseurs.
C'est un travail au long cours que présente ce livre : depuis 20 ans le photographe Guillaume Herbaut se rend régulièrement en Ukraine. Cet ouvrage ne porte donc pas seulement sur la récente invasion russe mais bien sur l'évolution extraordinaire de ce pays à laquelle il a assisté. Pour la troisième fois de sa carrière, Guillaume Herbaut vient de recevoir le prestigieux prix World Press Photo pour ce magnifique travail d'auteur. Loin des codes des classiques reporters de guerre, il éclaire les racines du conflit, fruit de la violence hégémonique de Vladimir Poutine. L'historienne et traductrice Galia Ackerman signe un introduction charpentée permettant une mise en perspective historique des photos de Guillaume Herbaut.
Jean-Baptiste Sécheret fait partie de ces grands artistes contemporains intensément inspirés par le paysage. Sans renier sa filiation avec les paysagistes du xixe siècle, il approfondit son regard sur la nature et les « choses vues » - monuments, immeubles, usines, maisons de village - en variant les points de vue, en inventant des clairs obscurs insoupçonnés. Son inspiration ne se restreint pas : un bord de mer à Trouville l'émeut tout autant que des gratte-ciel new-yorkais. De manière sérielle, parfois en suivant la lumière du jour à la façon d'un Monet, il travailleinlassablement sur le motif, s'essayant à tous types de médiums (peinture à l'huile, aquarelle, fusain, gravure...), avant de poursuivre ses oeuvres à l'atelier, voire de les reprendre en les changeant d'échelle. Y compris dans ses saisissants portraits, il se dégage de ses dessins, de ses peintures et de ses estampes un sentiment d'intemporel et de vide. Rien d'anecdotique ne distrait le dessinateur, qui cherche inlassablement à dénuder le monde ; ses montagnes ne dorment pas tout à fait, ses arbres ne sont pas au repos, ses visages frémissent sous leur calme apparent - une sourde fureur est à l'affût ; et aussi une poignante nostalgie, le sentiment palpable de l'émouvante vulnérabilité des êtres et des choses.
Deux textes accompagnent l'ouvrage : l'un d'un jeune historien de l'art qui gagne à être connu, l'autre d'un grand nom qu'il n'est plus besoin de présenter. Tous deux mettent en lumière la puissance et le mystère de cette oeuvre qui ne laisse personne indifférent, tant les amateurs que le grand public.
Une exposition conjointe avec Joël Person est prévue en septembre 2022, en même temps que la parution de ce livre.
L'oeuvre de Munch (1863-1944) occupe dans la modernité artistique une place charnière. Elle plonge ses racines dans le XIXe siècle pour s'inscrire pleinement dans le siècle suivant. Son oeuvre tout entier des années 1880 à sa mort, est porter par une vision du monde singulière lui conférant une puissante dimension symboliste qui ne se réduit pas aux quelques chefs-d'oeuvre qu'il a créés dans les années 1890. Tout au contraire, ce catalogue propose une lecture globale de son oeuvre mettant en avant la grande cohérence de sa création, plutôt que d'opposer un symbolisme fin-de-siècle à un expressionnisme qui ancrerait Munch dans la scène moderne. Son approche picturale se construit principalement à partir de cycles ; Munch exprime fréquemment l'idée que l'humanité et la nature sont inexorablement unies dans le cycle de la vie, de la mort et de la renaissance. Dans ce cadre, il élabore une iconographie inédite, en grande partie inspirée par les philosophies vitalistes, notamment de Friedrich Nietzsche et d'Henri Bergson. Cette notion de cycle intervient ainsi à plusieurs niveaux dans l'oeuvre de Munch. Elle y est présente aussi dans la construction même de ses toiles, où certains motifs reviennent de façon régulière. Ce que ce livre nous propose de nouveau : une nouvelle lecture de la création de cet artiste aux oeuvres autant remarquables qu'insolites.
Ce volume se présente comme une monographie consacrée aux oeuvres de Fabienne Verdier qui seront présentées lors de l'exposition que le musée Unterlinden de Colmar dédie à l'artiste, et qui dialogueront non seulement avec les collections d'art ancien et moderne du musée, mais aussi avec l'espace architectural - conçu par Herzog & de Meuron - qui les abrite. Cet ouvrage permettra aux lecteurs d'approfondir le lien inédit que l'artiste noue entre son oeuvre monumentale et le retable d'Issenheim de Matthias Grünewald en s'inspirant du spectre chromatique et de l'aura lumineuse qui distinguent la peinture de Grünewald. Fabienne Verdier réfléchit à la représentation de la mort non plus comme fin, mais comme trace d'énergie qui se libère pour les vivants. Ce lien entre l'homme et le cosmos, cette énergie vitale sont autant de thèmes qui justifient le titre - du livre comme de l'exposition - Le Chant des étoiles. La grande installation des Rainbows joue un rôle central dans la publication : ces 66 oeuvres inspirées par l'aura lumineuse produite par la mort d'une étoile sont conçues comme des individus dont chacun porte un titre soulignant son lien avec le ciel, les étoiles et la lumière. En outre, pour Fabienne Verdier, ces oeuvres constituent les portraits des défunts morts de la Covid-19, ils sont une manière d'icônes contemporaines et donnent vie à une oeuvre d'art universel.
Des oeuvres emblématiques du musée des Beaux-Arts de Lyon, telles que les vanités de Simon Renard de Saint-André et de Pablo Picasso, côtoieront, dans cette exposition, des oeuvres inédites, issues des réserves mais aussi des oeuvres majeures du Musée d'art contemporain de Lyon ainsi que celles de collections privées dont la catégorie du « memento mori » constitue un axe majeur.
Cet ouvrage rassemblera des oeuvres du XVIe au XXIe siècle créées en écho aux célèbres paroles de l'Ecclésiaste selon lesquelles « Vanité des vanités, tout est vanité ». Il permettra d'envisager les différentes typologies auxquelles les artistes ont eu recours, au fil des siècles, pour rappeler le terme inéluctablement assigné à toute activité humaine. Une grande diversité de thématiques ont, en effet, été mises à profit par les artistes pour exprimer la fragilité de la vie et pour inviter à en profiter au mieux. De fait, ce rappel récurrent tend, certes, à relativiser l'importance des prétentions humaines, jugées dérisoires, voire condamnables, mais il vise aussi à provoquer une prise de conscience pouvant entraîner à son tour un meilleur usage du temps imparti pour chaque existence.
Parmi les artistes présentés dans l'exposition, nous pouvons citer : Hendrick Hondius, Armand Avril, Erró, Gilbert & George, Paul Rebeyrolle, Miquel Barcelo, George Pencz, Jean-Luc Mylayne, Francis Bacon, Jan Fabre, Bruce Naumann, etc.
Né en 1946 à Paris, peintre et sculpteur, Gérard Garouste est l'une des figures majeures de l'art contemporain français. Après des études à l'École des Beaux-Arts de Paris, Garouste débute une carrière de scénographe dans les années 70. En 1977, il présente un spectacle total au théâtre parisien « Le Palace », en tant qu'auteur, metteur en scène et décorateur. La reconnaissance en tant qu'artiste s'amorce avec sa première exposition d'art en 1980 à la galerie Durand-Dessert à Paris, où il montre des oeuvres figuratives, mythologiques et allégoriques.
«Lux in tenebris» est un voyage en mer inédit et intime. L'auteur, Vincent Jendly, photographe, a embarqué à bord de cinq cargos de marine marchande pour éprouver sa relation ambivalente avec l'eau, développée après avoir échappé à la noyade lorsqu'il était enfant. Ici, dans l'univers étrange des grands cargos, la nuit est hostile: dans les ténèbres les plus profondes, quand le temps est couvert et que le bateau disparaît complètement, plus rien ne le distingue de l'eau, et la mer invisible devient encore plus abyssale.
«Derrière la couleur» est une monographie accompagnant l'exposition de l'artiste qui sera présentée au Musée jurassien des arts en 2022. Cet ouvrage présente le travail pictural de Niklaus Manuël Güdel, avec une attention particulière aux références iconographiques et la notion de repentir qui parcourent son oeuvre. Les reproductions sont accompagnées des notices thématiques, d'un entretien et de textes de Emmanuel Coquery, Julie Enckell Julliard, Yves Guignard, Isabelle Lecomte, Anne-Sophie Poirot, Valentine Reymond, Aude Robert-Tissot, Pauline Santschi, Claude Stadelmann, Marion Zilio.
Publié à l'occasion de son exposition « Le grand atlas de la désorientation », le présent ouvrage reproduit l'intégralité des dessins de Tatiana Trouvé. En parallèle à ses sculptures et à ses installations, cet ensemble d'oeuvres, qui s'étend sur trois décennies, donne à voir un monde flottant où la figure humaine se signale par son absence mêlée aux traces de son passage : lieux incertains et intranquilles, scènes traversées par les effets de la mémoire et de l'oubli, travail en écho à celui du rêve et de l'inconscient. Dans un va-et-vient incessant entre intérieur et extérieur, la notion d'architecture tient ici un rôle fondamental.
Le Centre Pompidou inaugure l'exposition Allemagne / Années 1920 / Nouvelle Objectivité / August Sander en mai 2022. Cette exposition sur l'art et la culture de la Neue Sachlichkeit (Nouvelle Objectivité) en Allemagne est la première vue d'ensemble sur ce courant artistique en France. Outre la peinture et la photographie, le projet réunit l'architecture, le design, le cinéma, le théâtre, la littérature et la musique. Pluridisciplinaire, l'exposition est structurée en huit sections thématiques, mises en correspondance avec les groupes et catégories socio-culturels créés par August Sander. Le chef-d'oeuvre du photographe August Sander, Hommes du 20e siècle, instaure comme principe structurel le motif d'une coupe transversale à travers une société, en tant qu'« exposition dans l'exposition », les deux perspectives conjointes permettant l'ouverture d'un grand panorama de l'art allemand de la fin des années 1920. Un regard sur l'histoire allemande, dans le contexte d'une Europe contemporaine de mouvements populistes et de sociétés divergentes en pleine révolution numérique, qui invite à constater des résonances politiques et des analogies médiatiques entre les situations d'hier et d'aujourd'hui.
D'abord peintre, Maillol se tourne vers la tapisserie et les arts décoratifs. Mal connue, cette première partie de sa carrière, au cours de laquelle il regarde Gauguin et Puvis de Chavannes et tisse des liens étroits avec les Nabis, montre un artiste désireux de retrouver les principes du décor mural.
Il découvre la sculpture vers 1895 seulement, d'abord sur bois et de petites dimensions : Octave Mirbeau et Ambroise Vollard entre autres en reconnaissent les qualités.
La Méditerranée réalisée pour le comte Kessler apparaît comme le manifeste du « retour à l'ordre », dont Maillol est un acteur majeur : proscrivant toute recherche d'expression, il instaure un nouveau classicisme et inscrit des corps féminins, à l'anatomie charpentée et sensuelle, dans des formes géométriques simples.
Maillol passe avec aisance de l'esquisse au monumental, dans des allers-retours continuels. L'imposant Monument à Cézanne invite à plonger dans son processus créateur, avant les grandes figures, aboutissement d'un parcours dans lequel la recherche d'une perfection formelle tient une place essentielle.
Véritable célébration des cerisiers, ce coffret, accompagné d'un livret explicatif, déploie dans un format accordéon plus d'une soixantaine d'oeuvres des plus grands maîtres de l'estampe japonaise. Le sakura, dont la fleur est devenue l'emblème du pays, offre au début du printemps une floraison grandiose, dans de subtiles variations de couleurs, qui s'étend comme un nuage vaporeux sur tout le pays, et qui a donné lieu à un rituel ancestral, le hanami. De Hokusai à Hiroshige, en passant par Keibun, Bairei et Hasui, ces estampes mettent en valeur l'intensité et la fugacité de ce moment unique, occasion de recueillement en famille ou entre amis, où chacun est invité à méditer sur la brièveté de toute chose et sur la fragilité de l'existence, à contempler la nature pour y trouver la sagesse.
Les Écrits sur l'art rassemblent les articles, préfaces, hommages et études monographiques que Jean Cocteau a consacrés aux artistes qu'il a côtoyés et admirés. Notamment les principaux représentants de l'avant-garde, Gleizes, Picasso, Braque, Dalí, Delaunay, Modigliani, Dufy, Matisse, Lipchitz, Picabia, Man Ray et De Chirico ; tout en y incluant les femmes artistes actives en cette période, Abbott, Krull, Madame d'Ora, Laurencin, Lagut, Fini, Vautier.
L'ouvrage contient les éloges aux maîtres du passé qu'il a pris pour modèles : le Greco, le Douanier Rousseau, Watteau, Toulouse-Lautrec, Cappiello, Vermeer, Cézanne, Tiepolo, Rembrandt, de Vinci, Van Gogh, Morisot, Ingres, Delacroix ; ainsi que les témoignages de soutien aux jeunes créateurs qu'il a considérés comme des précurseurs dans leur domaine : Bérard, Harold, Bellmer, Clergue, Buffet, Mathieu, Moretti.
Ce volume montre comment Cocteau relie les différentes disciplines artistiques : le dessin, la caricature, la peinture, la décoration d'intérieur, le décor de théâtre, la mode, la photographie, la sculpture, la céramique et la tapisserie. Et révèle ses conceptions sur la création artistique en général, tout en livrant un panorama permettant de saisir l'évolution de l'esthétique dans la première moitié du XXe siècle.
"Du Jura bernois aux montagnes neuchâteloises, Simon Boudvin traverse ici un territoire témoin des luttes que nous raconte l'historienne Marianne Enckell, bibliothécaire et archiviste bénévole au Centre international de recherches sur l'anarchisme (CIRA, Lausanne).
Si ce livre reste difficile à classer, il présente néanmoins une idée simple: croiser une spéculation logique qui dénombre toutes les formes primaires de tabourets et une enquête de terrain qui inventorie les modèles existants et les histoires qu'ils portent."
De février à mai 2022, la Fondation Cartier pour l'art contemporain consacre une grande exposition à Graciela Iturbide, figure emblématique de la photographie latinoaméricaine. Travaillant principalement en noir et blanc dans son pays natal, le Mexique, Graciela Iturbide s'intéresse à la cohabitation entre traditions ancestrales et rites catholiques, ainsi qu'à la relation de l'homme à la mort. Elle dédie également une part importante de ses photographies aux femmes et à leur place au sein de la société. Ces dernières années, ses prises de vues se sont vidées de toute présence humaine, révélant le lien fort qui l'unit aux choses, à la nature et aux animaux. À travers plus de 200 photographies, l'exposition et le catalogue réalisé à cette occasion présentent des oeuvres iconiques et une importante sélection de photographies inédites de Graciela Iturbide, ainsi qu'une série d'images couleur commandée spécialement par la Fondation Cartier, dévoilant ainsi une oeuvre sensible, poétique et humaniste.
Pendant son incarcération en 2011, repensant au fossé d'incompréhension qui s'était creusé entre son père et lui, Ai Weiwei décide d'écrire ses mémoires pour que son enfant n'ait pas les mêmes regrets.
Ai Weiwei est le fils du grand poète chinois Ai Qing, ami de Mao Tsé-Toung. Violemment critiqué lors de la Révolution culturelle, ce dernier est envoyé avec sa famille en camp de travail.
Avec une absolue franchise et beaucoup d'esprit, dans ses mémoires intimes illustrés de cinquante dessins inédits, Ai Weiwei revient pour la première fois sur son enfance, sa jeunesse dans les camps pendant 17 ans, son éveil à l'art, sa formation à New York, son cheminement personnel, son amitié avec Allen Ginsberg ainsi que l'influence de Duchamp et de Warhol sur son travail. Il raconte sa prise de conscience de la puissance révolutionnaire de l'art, la façon dont la vie dans un régime totalitaire a façonné son oeuvre, ses provocations qui lui vaudront d'être incarcéré de nombreuses fois, son exil, et la permanence de son combat contre le système chinois.
À travers une plongée passionnante dans la Chine de Mao Tsé-Toung à aujourd'hui, voici le récit d'un destin hors norme, de l'anonymat au statut d'artiste superstar et figure de l'engagement contre la répression.
À l'automne 2021 le musée La Piscine - Musée d'art et d'industrie André Diligent à Roubaix, présente une exposition réunissant des peintures à huile sur toile et des dessins de Susanne Hay (1962-2004) provenant de la succession de l'artiste et de collections privées, pour la plupart parisiennes. Trois toiles proviennent de Berlin et de Stuttgart.
Le catalogue présente 20 peintures et dessins sélectionnés parmi une oeuvre globale de l'artiste d'environ 230 toiles et 200 dessins. Il se concentre sur les séries consacrées directement par l'artiste au thème du rapport à l'eau, soit :
- « Les Piscines » - « Les Salles de bains » et les « Douches »